L'église


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CONSECRATION

Acte de consécration 

Acte de consécration de l’église Sainte-Catherine au Cœur Immaculé de Marie

Loué sois-tu, Père Eternel, pour ta Fille Bien-Aimée, Marie, chef d’œuvre de ta création.
Loué sois-tu Notre Seigneur Jésus-Christ, Parole Eternelle du Père, qui, pour notre Salut,
a voulu devenir homme et a choisi Marie pleine de grâce comme Mère.
Loué sois-tu, Esprit-Saint, qui a comblé de tes dons, Marie, ton Epouse fidèle.
Loué sois-tu Sainte Trinité, pour nous avoir donné Marie
comme Mère de l’Eglise et Mère des hommes.

Nous te remercions Jésus notre Sauveur pour avoir voulu associer
à la dévotion de ton Sacré-Cœur, la dévotion au Cœur Immaculé de Marie,

Refuge maternel et puissant.

A votre Cœur Immaculé Marie, comme Archevêque de Malines-Bruxelles,
je consacre officiellement aujourd’hui, 8 décembre 2015, Solennité de l’Immaculée Conception, l’église de Sainte-Catherine comme réponse filiale et pleine de foi
au message de Notre-Dame à Fatima,

considérée officiellement comme l’apparition mariale la plus prophétique
et la plus importante de l’histoire de l’église,
et que le Saint Pape Jean-Paul II avait considéré en l’an 2000 « message plus important
et plus urgent aujourd’hui qu’alors et qui impose à l’Eglise une réponse ».

Consacrant cette église avec tous ses paroissiens et dévots,
nous voulons aussi, du profond de notre cœur, consacrer personnellement à vous, Mère de Dieu, à votre cœur immaculé et souffrant, spécialement en ces temps difficiles,
la Ville de Bruxelles, tout le diocèse de Malines-Bruxelles,
toutes les provinces de Belgique
,
West-Vlaanderen, Oost-Vlaanderen, Antwerpen, Limburg, Vlaams Brabant, la Capitale, le Brabant Wallon,
le Hainaut, la Province de Namur, la Province de Luxembourg, la Province de Liège,
et toute notre nation,
en la confiant à votre puissante intercession et en vous suppliant d’y faire triompher
les desseins bénéfiques de votre Divin Fils
et d’y faire échouer toutes les tentatives du mal, spirituelles et temporelles.

Nous vous promettons Mère de Dieu et notre Mère,
une filiale correspondance à votre appel maternel
pour participer à élever une chaîne de prière et d’adoration eucharistique
dont l’Eglise et le monde ont tant besoin .

Amen

— Monseigneur André-Joseph Léonard, Archevêque de Malines-Bruxelles
le 8 décembre 2015, en la Solennité de l’Immaculée Conception
en l’église Sainte-Catherine d’Alexandrie à Bruxelles

Vocation  

Une Maison de prière et d’accueil pour toutes les nations

tout au long du jour et des jours

Un sanctuaire marial et eucharistique

Consacré au Cœur immaculé de Marie et au Sacré-Cœur de Jésus

Une mémoire religieuse, culturelle et historique vivante

au cœur d’un quartier, au cœur de Bruxelles, au cœur de l’Europe

Une fraternité sacerdotale stable et visible

Une fraternité paroissiale dynamique et fervente

Un accueil le plus permanent possible

Un centre missionnaire ouvert sur le monde

Une fidélité à l’Eglise catholique, sa doctrine, sa liturgie, son droit, sa foi

Une insertion concrète dans la vie du quartier

Une souplesse pastorale

BATIMENT 

 Architecture 

Elle tire probablement ses origines d’une modeste chapelle appuyée à la première enceinte, sur la rive gauche de la Senne, et mentionnée à partir de 1201 comme dépendance de la paroisse Saint-Jean de Molenbeek. Une église gothique à trois nefs est progressivement construite dans le courant des XIVe et XVe siècles. Pillée durant les troubles religieux, elle est fermée en 1581 puis rendue au culte en 1585. À partir de 1629, on l’agrandit d’un chœur baroque et on la dote d’un clocher, qui ne sera terminé qu’en 1664. On la restaure dans les années 1780. Fermée par l’administration française en 1798, elle est rouverte en 1799 et promue paroissiale en 1803. À la suite des dégâts provoqués en 1850 par les inondations de la Senne, on décide de bâtir une église neuve, dont le projet est confié à l’architecte J. Poelaert. L’édifice est érigé en 1854-1874 sur le site du bassin Sainte-Catherine récemment comblé. L’église précédente est détruite en 1893, excepté sa tour baroque.

Cette vaste église de style éclectique est la seule église paroissiale construite de neuf à l’intérieur du Pentagone depuis la fin de l’Ancien Régime. Stylistiquement, elle s’inspire des église françaises du XVIe siècle, telle Saint-Eustache à Paris, qui combinent une structure gothique et une décoration Renaissance. Sur cette base, Poelaert crée un langage architectural hybride et expressif. Son avant-projet, exposé en 1851, est suivi des plans définitifs et de la pose de la première pierre en 1854. Les travaux sont dirigés par Poelaert de 1854 à 1859 puis, de 1861 à 1873, par l’architecte W. Janssens. La construction s’effectue par phases successives, correspondant à des adjudications distinctes : les fondations en 1854, le soubassement jusqu’au deuxième ressaut en 1860, les parties basses jusqu’à l’arc des fenêtres des nefs latérales en 1861, l’achèvement des murs en 1863, les parties hautes en 1865, les percements en 1868, le plafonnage en 1869, les verrières et vitraux en 1870, les dernières finitions, les dallages et les escaliers en 1871. L’église est inaugurée en 1874, mais les dépenses se poursuivent jusqu’en 1887.

Église orientée de plan basilical, à trois nefs et transept, confortés par des contreforts et des arcs-boutants. Plan comportant une travée d’entrée ouverte, une nef de six travées, un transept peu saillant et un chœur de trois travées, flanqué de chapelles latérales et de sacristies et fermé par une abside à trois pans.
Construction en pierre de Gobertange sur soubassement en pierre bleue. Bâtière de cuivre sur la nef haute, appentis couverts de zinc sur les bas-côtés.
Soubassement massif, richement profilé et rythmé par des contreforts couronnés de gargouilles, conçu comme un socle puissant pour les parties hautes, plus sobres et plus nues.

Façade occidentale très équilibrée, divisée verticalement par quatre contreforts à étages, creusés de niches, et horizontalement par la balustrade continue qui couronne le registre inférieur, abritant les portails. Travée centrale sur deux registres, évidé chacun par un arc en plein cintre, correspondant, en bas, au portail principal et encadrant, en haut, une rosace; entre les deux, balustrade interrompue dans l’axe par une niche vide sur console sculptée; couronnement par un fronton triangulaire à rampants surmontés d’une balustrade et lanterne terminale de plan carré, dont les quatre faces, cantonnées de pilastres composites et percées d’abat-son, sont surmontées d’un fronton et d’une coupole à lanternon; terminaisons similaires sur les contreforts à gauche et à droite. Travées latérales plus basses, percée chacune d’une arche, dont le cintre est timbré d’une clé sculptée et que surmonte une tribune à colonnes composites trapues ; couronnement par une balustrade et deux arcs-boutants très ajourés. Aux angles extérieurs, contreforts puissamment articulés, sommés de lanternes. En retrait, au fond de la travée d’entrée, triple portail à lourds vantaux de bois.

Pignons du transept de même ordonnance que la partie centrale de la façade ouest, mais à portail plus bas, surmonté de même d’une tribune trapue. Façades des collatéraux et du chœur de composition analogue, épaulées par des contreforts à étages portant des colonnes composites au même niveau que celles des tribunes. Au-dessus, arcs-boutants lancés pour épauler les parties hautes de la nef, du transept et du chœur, dont les parois sont rythmées par des pilastres sous entablement. Fenêtres cintrées à encadrement profilé, à deux formes sous oculus. À l’est, dans l’axe du chevet, portail cintré surmonté d’une vaste verrière à trois formes et oculus ; au-dessus, niche vide sur consoles, interrompant la balustrade. Rosace éclairant le haut du chœur.
Autour de l’édifice, grille en fer forgé posée en 1976 et constituée par les garde-corps de l’ancien Grand Hôtel élevé au boulevard Anspach en 1875 sur les plans de l’architecte E. L’Homme.

Intérieur ample et sobre, enduit et peint. Arcades cintrées sur piliers fasciculés à chapiteau composite; faux triforium entre l’entablement et le clair-étage; voûtes sur nervures et doubleaux de section ronde; voûte en étoile sur la croisée. Prolongeant les pilastres, colonnettes composites recevant la retombée des nervures de la nef centrale, du chœur et du transept. Bras de transept peu marqués, s’ouvrant à l’est sur des chapelles peu profondes. Chœur surélevé, orné d’arcades aveugles, recoupées par une balustrade. Dans la paroi est, arc en plein cintre ouvrant sur une abside peu profonde, où l’autel se dresse sur un podium à degrés. À l’ouest, au-dessus du portail, jubé bordé par une balustrade ajourée portant un buffet d’orgue de la deuxième moitié du XVIIIe siècle et un orgue de P. Schyven vers 1860, provenant de Saint-Michel de Courtrai.

Mobilier très homogène, conçu pour la nouvelle église et complété par des œuvres d’art et des objets de culte provenant de l’église précédente. Meubles néo-Renaissance de la deuxième moitié du XIXe siècle par les frères Goyers de Louvain : maître autel en marbre et pierre blanche, autels latéraux en bois peint, banc de communion, stalles et confessionnaux en chêne. Lavabo Louis XVI en marbre noir et blanc (1789). Armoires de sacristie en chêne du milieu du XVIIe siècle. Chaire de vérité Louis XVI en chêne provenant de la cathédrale Saint-Rombaut de Malines (fin du XVIIIe siècle). Lutrin en laiton par F. H. Hellner de Cologne (1910). Deux monuments funéraires en marbre noir et pierre blanche par G.-L. Godecharle, l’un à la mémoire du peintre P.-Fr. Jacobs (décédé en 1808), l’autre à celle du peintre F. Delvaux (décédé en 1815). Statue en pierre de Vierge à l’Enfant, dite «Vierge noire» (XIVe siècle); Christ en croix (bois, milieu du XVIIIe siècle); statues de saints de la deuxième moitié du XIXe siècle. Importante série de peintures, notamment des tableaux d’autel du XVIIe siècle attribués à J.-B. Le Saive, O. Van Veen, Th. Van Loon, G. de Crayer, C. Schut; sept tableaux attribués à J. Van Orley (première moitié du XVIIIe siècle); chemin de croix par H. et G. Guffens (fin du XIXe siècle).

 

Des Pierres en prières

   

« Il s’agit de dire à nouveau le mystère du Christ par ce langage social qu’est l’acte de bâtir. L’expérience montre que ces édifices qui expriment le sacré et que la foi en l’Évangile, en la vie de l’Église, a su faire surgir au cours des siècles dans les différentes nations, n’ont jamais été bâtis en vain ».

Cardinal Lustiger

 

« Même si nous nous taisons, les pierres de nos églises continueront, malgré ou sans nous, à dire la transcendance et l’immanence de Dieu, à crier sa gloire et dire son Nom ».

Des caves au grenier...

...ses caves et greniers à aménager! Toute aide est bienvenue!

"Va, rebâtis mon église qui tu le vois tombe en ruine" dit Jésus à saint François d'Assise

   

    Chantiers saint François

 

Entretien

Merci à la sacristine, Lydie, et aux paroisiens qui entretiennent l'église ! 

      

RESTAURATION

        

« Ainsi parle le Seigneur de l’univers : Rendez votre cœur attentif à vos chemins :
Allez dans la montagne, rapportez du bois pour rebâtir la maison de Dieu.
Je prendrai plaisir à y demeurer, et j’y serai glorifié – déclare le Seigneur ».

Ag 1,7

Motivé pour nous aider à la restaurer?

nous aider à financer les travaux?

Vous engager dans la Fabrique d'église?

Contactez Pierre Hargot: Tel 0475 90 12 56 

HISTORIQUE

LIVRET HISTORIQUE ET PATRIMOINE E27 PAGES.pdf (96 Mo)

En 1 page

En 7 pages 

En 7 pages

En 14 pages 

En 14 pages

En un livre

PATRIMOINE

église paroissiale Sainte-Catherine – Inventaire du patrimoine architectural

Flyer Parcours-découverte

A3 FLYER PARCOURS DECOUVERTE.pdf

PATRIMOINE 1.pdf

PATRIMOINE 2.pdf

Patrimoine avec petites photos- avril 23

Répertoire IRPA

Répertoire photo de l'IRPA.pdf

Stalles de Sainte-Catherine .pdf


Chœur (à droite)


Transept


Entrée

Adoration des mages (Van Orley)

[Photo manquante]

« Nous avons vu son étoile en Orient et nous sommes venus l'adorer. » Mtt 2

Présentation de Jésus au temple (de Haese 1753)

(Choeur)

« Syméon prit l’enfant dans ses bras, et il bénit Dieu en disant :
"Maintenant, ô Maître, tu peux laisser ton serviteur s’en aller dans la paix, selon ta parole.Car mes yeux ont vu ton salut, que tu as préparé à la face de tous les peuples :lumière pour éclairer les nations païennes, et gloire d’Israël ton peuple." »
Lc 2, 22

Présentation de jésus au temple (inconnu)

(Sacristie)

[Photo manquante]

Baptême de Jésus (inconnu)

(Transept)

Le Bon pasteur (Van Orley)

Jésus sauve Pierre des eaux (Van Helmont)

Parabole des ouvriers de la onzième heure (Van Helmont)

Le discours sur la montagne (van Orley)

Résurrection de Lazare ( van Orley)

Golgotha (Saives 1601-1610)

Luc 23:34 "Père, pardonne-leur car ils ne savent ce qu'ils font."

Luc 23:43 "Je te le dis en vérité, aujourd'hui tu seras avec moi dans le paradis."

Jean 19: 26-27 "Femme, voici ton fils". (…)"Voici ta mère".

Matthieu 27:46 "Mon Dieu, mon Dieu pourquoi m'as-tu abandonné?"

Jean 19:28 "J'ai soif"

Jean 19: 30 "Tout est accompli."

Luc 23:46 "Père, je remets mon esprit entre tes mains."

Couronnement d’épines (inconnu)

(Réserve)

[Photo manquante]

Christ mort soutenu par son Père (+ donateurs) (Van Veen)

Incrédulité de saint Thomas (Delvaux)

Conversion de saint Paul à Damas (Van Orley)

Assomption de la Vierge (Rubens, 1741-1760)

« Nous affirmons, Nous déclarons et Nous définissons comme un dogme divinement révélé que l'Immaculée Mère de Dieu, Marie toujours vierge, après avoir achevé le cours de sa vie terrestre, a été élevée en corps et en âme à la vie céleste. » 1er novembre 1950, Pie XII dogme de l'Assomption

Sainte Anne intercède auprès de la Vierge et de la Sainte Trinité pour les nauvragés (Schut 1636)

(Sacristie)

Provenant de la chapelle des bateliers de l'ancienne église Sainte-Catherine

Glorification de sainte Catherine (Gaspar de Crayer)

(Autel droit)

La Vierge offre le scapulaire à Simon Stock (Van Orley, 1701 – 1710)

Le général de l'Ordre du Carmel s'appelait Simon Stock, et il suppliait Marie, invoquée comme « Fleur du Carmel », ou « Etoile de la mer », de l'aider dans les difficultés institutionnelles - comment faire vivre dans des villes européennes des ermites venus de Terre Sainte, et totalement démunis d'appuis humains C'est alors que le 16 juillet 1251, Marie apparaît à Simon Stock, présentant le scapulaire.

Saint Liévin de Gand (inconnu)

Saint Augustin (inconnu)

SES 2 VIERGES MIRACULEUSES  

La Vierge Noire de Sainte Catherine 

Jadis, on trouvait au coin de la rue de la Vierge Noire (située à proximité de la place Sainte-Catherine) et du Pont de la Barbe, une petite chapelle (ou niche) taillée dans le mur (ou adossée contre une maison) et contenant l’image d’une Vierge noire tenant l’enfant Jésus. Cette chapelle qui était placée sous l’invocation de Notre-Dame d’Assistance attirait bien du monde. On y voyait continuellement de petits cierges allumés par les fidèles. Les habits et les ornements de la Vierge étaient sous la responsabilité des gens qui habitaient le numéro 4 (numérotation de 1857) de la rue d’Anderlecht. Depuis des temps immémoriaux, tout ce qui concernait la chapelle de la Vierge d’Assistance relevait de la responsabilité des propriétaires de cette maison. Cette coutume était encore respectée à la moitié du 19ème siècle

La Vierge Noire sauvée des eaux.

 Dans la nuit du 18 au 19 novembre 1744, la statue de la Vierge noire fut arrachée de son socle et jetée dans la Senne par des vandales, vraisemblablement des marins protestants (anglais ou néerlandais). Quelques jours plus tard, dit la légende, les habitants la virent flotter sur un morceau de tourbe qui lui tenait lieu de barque, et il n’en fallut pas plus pour que l’on crie au miracle ! La statue de la Vierge noire fut alors déposée dans l’ancienne église Sainte-Catherine, où elle était conservée sur un petit autel à droite du grand chœur. Il semble qu’elle disparut de son piédestal à la Révolution. Elle ne fut retrouvée que trente ans plus tard (à moins qu’il ne s’agisse d’une autre statue) et fut solennellement transportée dans l’église Sainte-Catherine. Bien plus tard, abandonnée par ses fidèles, la statue s’est, vraisemblablement, à nouveau éclipsée (Saint-Hilaire), soit qu’elle disparut définitivement lors du transfert du mobilier de la vieille église Sainte-Catherine dans la nouvelle, construite par Poelaert (Jean d’Osta), soit que l’on ait décidé de la mettre à l’abri des actes de vandalisme (Guelff).

Le Quai aux Tourbes.

L’appellation de « rue de la Vierge Noire » est relativement récente : elle ne s’imposera que vers la moitié du 19ème siècle. Ainsi, en 1853, l’ancienne ruelle ne s’appelait déjà plus « quai aux Tourbes », le Conseil communal lui ayant « donné le nom de rue de la Vierge Noire, en souvenir d’une célèbre madone de bois noir, qui se trouvait jadis dans une petite chapelle adossée à une maison de la rue, mais qui avait été jetée dans la Senne pendant la nuit du 18 au 19 novembre 1744 ; » (Dictionnaire historique et anecdotique des rues de Bruxelles, Jean d’Osta, p. 346). Toutefois, en 1855, cette rue portait encore la double dénomination de « Vierge Noire » et de « Quai aux Tourbes » : « …l’on voyait au coin de cette rue, du côté de la rue de Laeken, une plaque portant ces mots : Quai aux Tourbes, tandis que de l’autre côté on lisait rue de la Vierge-Noire. » (Dictionnaire historique des rues, places…de Bruxelles, p.557). Ce nom de « Quai aux Tourbes » provient du fait qu’avant la construction du canal, alors que la navigation se faisait sur la Senne, le terrain sur lequel fut tracée l’actuelle rue de la Vierge Noire n’était qu’une mauvaise grève où l’on déchargeait des tourbes apportées par bateaux de Vilvorde.

http://bruxellesanecdotique.skynetblogs.be/archive/2012/10/16/la-vierge-noire.html

Notre-Dame d'Afflighem 

Statuette sculptée à partir des débris de la statue (cassée plus tard par les iconoclastes) qui a parlé à Saint Bernard en visite à l'abbaye d'Afflighem.

"Je te salue, Marie" dit saint Bernard; "Je te salue Bernard" répondit la Vierge Marie

     

Reliques

La paroisse Sainte-Catherine possède deux petites reliques de la sainte crioix avec leur acte d'authentification. .Elles sont vénérées après les chemins de croix du Carême. 

Et en fouillant un jour dans les vieilles armoires de "la sacristie des fleurs", Rosario et Raphaël ont fait d'autres trouvailles incroyables; des petites reliques du voile de la Vierge Marie, de sainte Catherine d'Alexandrie (exposée derrière la vitre du confessionanal avant droit) , de sainte Barbara et de saint Jean Berchmans. Sachant que les archiducs Albert et Isabelle (début 17èeme siècle) sont venus à plusieurs reprises à l'église Sainte-Catherine, les choses s 'expliquent..Nous conservons ces saintes reliques avec soin et respect, en nous remettant tout particulièrement à la prière de ceux à qui elles nous "attachent". . 

 

 

 

 

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